La tragedie flamande, dont le sujet est le fameux siege de Leyde que les espagnols leverent durant les premieres guerres des Païs-Bas, et laquelle, suivant la fondation d’un citoïen de cette ville, s’y répresente encore toutes les années dans le mois où l’évenement arriva, est pleine des maximes et des sentences contre les rois et contre leurs ministres qui pouvoient être à la mode dans Rome après l’expulsion des tarquins.
Parmi les fêtes qu’on lui donna, il y eut un bal paré où brillèrent les plus fameuses beautés de la ville. […] Ils étaient nés, tous les trois, dans l’antique ville de Chartres. […] C’est dans cette ville que le poète naquit. […] Ce bonhomme fit semblant de se saisir de la personne de Clitiphon pour le mettre en prison et en répondit sur sa vie pour apaiser les plus séditieux qui commençaient à le traîner vers la Maison de Ville, où étaient les prisons de cette ville-là. […] Il s’échappait cependant, à l’occasion, de la cour et de la ville, afin de rêver, solitaire, entre Marly et Saint-Germain, sous les frais arceaux des bois de Feuillancour.
Peut-être y a-t-il bien des gens parmi vous, messieurs, qui ont habité pendant tout un hiver une petite ville de province peuplée de quinze à dix-huit mille âmes ! […] Cette joie si sentie nous donne la mesure de ses chagrins, quand il errait, complètement inconnu, du bourg à la ville et du château à la grange, récoltant ici des mépris et là des compliments plus outrageants que des mépris. […] La secte qui tenait la ville en ce moment, qui y était en faveur, était une secte grondeuse et austère, la secte janséniste, et elle voyait d’un œil très défavorable les désordres du roi, elle en médisait volontiers. […] Aix était une ville extrêmement lettrée. […] Non qu’il faille s’imaginer que le théâtre soit un miroir et rien de plus, les mœurs de la scène celles de la ville, et que la fantaisie, même arbitraire, n’ait aucune part à la création des types comiques.