par l’âme du vieux Poquelin ! […] les plus minutieux détails sur les jeux, les occupations et les distractions de ce petit Roi, triste déjà comme un vieux homme, et qui resta triste et petit.
L’œil de Cladel fait grandiose l’objet en le regardant, et le républicain, chez lui, est tellement peintre, qu’il rajeunit et splendifie par la couleur les vieilles rengaines républicaines, quand elles lui tombent sous le pinceau. […] lui supprimerait ces chers paysans, dont il raffole et qu’il peint dans toutes les magnificences agrestes, frustes et même brutales de leurs vieilles mœurs.
Et Thomas Horneby, son voisin, son vieux camarade, il le fit emprisonner. […] Une vieille Froget ou Quantin. […] Je ne m’amuse guère au vieux Dumas : Gomberville m’assomme, et La Calprenède. […] Et leurs rêves sont tout pleins de vieille barbarie méconnue. […] » Quelques mois plus tard, il perd son vieux Théo, comme il l’appelle.