Boileau, qu’il appelle « un vieux critique » qui ne comprenait rien aux talents de la belle jeunesse, jeta le livre par la fenêtre et menaça son valet de le mettre à la porte. Je suis assez de l’avis de cette vieille bête (pour France) de Boileau. […] Ce vieux coq du roman d’aventures pensait comme le coq de la fable.

Elle vante l’héroïsme des vieux âges, et même elle avoue l’utilité des institutions religieuses. […] Il serait presque aussi raisonnable de soutenir que la vieille chanson de Roland et les airs de Thibaud, comte de Champagne, ont créé Corneille et Racine. […] Pénétrez dans ces forêts américaines aussi vieilles que le monde : quel profond silence dans ces retraites, quand les vents reposent ! […] Non loin, de vieux soldats, compagnons de ses victoires, pleuraient, appuyés sur ces mêmes armes qui triomphèrent de l’Europe. […] Mais combien est simple et martial à la fois le tableau du vieux comte de Fontaines, porté dans sa chaise, à la tête des bandes espagnoles.

Il n’y a pas une âme sur la promenade, sauf deux ou trois vieux Niçois endormis sur les bancs. […] Beaucoup des vieux amis et de nouvelles connaissances. […] Les vieux airs des vieux opéras… Et Aïda… Ah ! […] Je vous les pardonne donc et même les ratures et la vieille et les Prussiens ! […] La vieille fille sèche : Malheur !