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445. (1856) Réalisme, numéros 1-2 pp. 1-32

Cette œuvre est mauvaise : le vieux poison, la vieille lettre anonyme, le vieux mari jaloux et aveugle, le vieux vieillard grognard, la vieille Mme de Maintenon, tant de fois dépecée par trente faiseurs de romans ; la vieille servante scélérate par dévouement, la vieille perruque de Louis XIV et les vieux vers de Victor Hugo, voilà la pièce d’un jeune homme. […] Qui lit les vieilles pièces ? Qui s’occupe des vieilles lunes ? […] Bouilhet, il est bien vrai que Méry ce littérateur à l’ail, Théophile Gautier ce vieux homme fatigué de bonhomie et de complaisances et M.  […] — C’est la littérature qui devient sa vieille maîtresse et qui lui passe la jambe… non autour du cou.

446. (1896) Études et portraits littéraires

Ne dirait-on pas qu’il s’agit d’un vieux gabier à la veille de la retraite ? […] En famille, on l’appelait ban, vieux mot du pays qui signifie à peu près « cancre ». […] Entre le premier président Salteur et le second président Maistre, il y a de vieux liens solides. […] Plusieurs fois la lanière de cuir fut déroulée, et l’on fit des emprunts au vieux compagnon de route. […] fit mon compagnon, vieux Solognot.

447. (1890) Causeries littéraires (1872-1888)

» eussent ajouté les vieux trouvères du moyen âge. […] C’était le vieux jeu et nous avons changé tout cela. […] et la vieille gaieté française ? […] » Et si les vieux humanistes s’étonnent, ne nous inquiétons pas des vieux humanistes. […] Le vieux de Verle, qui a tant de places, est sur le point de mourir. — Oh !

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