Victor d’Auriac vient de publier un volume de vers gracieux et bien ouvragé.
C’était en 1846 : j’appris que l’auteur d’Ango et des Deux Serruriers venait de composer un Diogène, une comédie athénienne ; j’étais fou, comme je le suis encore, de tout ce qui touche à la Grèce maternelle, et, avec la confiance de la jeunesse qui ne doute de rien, j’allais trouver Pyat, que je n’avais jamais vu, et je lui dis combien je serais heureux de connaître sa pièce.
Nous croyons que la subtilité de ses idées vient de ce que son esprit n’étoit pas assez vigoureux pour penser solidement.