On fit pour Gomberville, pendant sa vie, ce que deux ou trois Journalistes font aujourd’hui en faveur d’une foule d’Auteurs médiocres qui ne valent pas mieux que lui.
Ses Cantiques spirituels lui feront plus d’honneur dans les Esprits sages, que ses Ouvrages de galanterie ne lui ont attiré d’applaudissemens de la part des Esprits frivoles, dont les suffrages ne valent pas la peine qu’on leur sacrifie les devoirs.
Ne vaut-il pas mieux ne pas écrire, que de semer par-tout la doléance, & d’épaissir les vapeurs, qui ne dominent déjà que trop dans la plupart des cerveaux ?