On en voit déjà percer quelque chose dans certaines œuvres romanesques d’une valeur morale toute nouvelle. […] Nous verrons quelle valeur il convient d’attribuer à ce mot. […] Chacun sait que les paysans, les « âmes », comme on disait dans le langage courant, étaient une valeur mobilière, objet de négoce au même titre que les autres valeurs. […] Je ne m’attacherai qu’au principal, à celui qui donne à la littérature slave sa physionomie particulière et sa haute valeur morale. […] Mais peut-être les mots n’ont-ils qu’une valeur de relation et de moment ; ce qui était mystique en 1840 ne le fut pas deux siècles plus tôt et ne l’est plus après un demi-siècle.
Puisque la logique est l’examen de la valeur et de la légitimité de nos divers moyens de connaître, elle ne peut pas ne pas faire son plus considérable emploi d’apprécier la valeur et la légitimité de principes qui sont les fondements de nos plus importantes connaissances. […] L’esprit humain est alors, ainsi que le dit très bien Kant lui-même, comme un banquier qui prendrait des billets rangés avec ordre dans sa caisse pour des valeurs réelles : il ne possède que du papier. […] Ainsi, pour exprimer fidèlement ce qui se passe en nous, il faudrait renverser la proposition de Kant, et au lieu de dire avec lui : ces principes sont les lois nécessaires de notre esprit, donc ils n’ont point de valeur absolue en dehors de notre esprit ; nous devrions dire bien plutôt : ces principes ont une valeur absolue en eux-mêmes, voilà pourquoi nous ne pouvons pas ne pas y croire. […] 3º D’ailleurs, la valeur des principes est au-dessus de toute démonstration. […] Mais nous avons prouvé que l’objet de l’art n’est pas le plaisir : le plus ou moins de plaisir qu’un art procure ne peut donc être la vraie mesure de sa valeur.
Leur pays s’appelait Burgondie : ils accomplirent des prodiges de valeur dans le pays d’Etzel. […] « Ces trois rois étaient, comme je l’ai dit, d’une haute valeur : aussi leur étaient soumis les meilleurs guerriers dont on ait ouï parler, très-forts et très-intrépides dans tous les combats. « C’étaient Hagene de Troneje et son frère Danewart le très-agile, et Ortwîn de Metz, et les deux margraves Gère et Eckewart, et Volkêr d’Alzeye, doué d’une indomptable valeur. […] Nul ne pouvait contester leur valeur.