Ces métaphores redoublées comme des trilles, ces roulades sonores de gammes poétiques, ce gazouillement d’été ruisselant sous la feuillée, changent la pièce en un véritable opéra.
Mais plus le groupement est important, plus il a droit à un dieu véritable.
Acomat épousera la cousine de Bajazet et restera le véritable maître de l’empire.