Il n’y a pas à s’y tromper, c’est bien un style nouveau.
Louis Marsolleau a montré, depuis, qu’il avait les poumons assez solides pour emboucher la trompe d’airain et l’âme assez résistante pour surmonter les bagatelles sentimentales de la seizième année.
Ces deux grands poètes ont tant de ressemblance, qu’ils pourraient tromper jusqu’aux yeux de la Muse, comme ces jumeaux de l’Énéide, qui causaient de douces méprises à leur mère.