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327. (1892) Les contemporains. Études et portraits littéraires. Cinquième série « Quelques « billets du matin. » »

les tristes dessous de notre délicieuse civilisation ! […] Ce « panmécanisme » sera commode, mais triste. […] Bref, Regnard avait presque autant voyagé que notre suave et triste Pierre Loti. […] Il y a des choses tristes que l’on sait bien, mais auxquelles on ne songe jamais. […] On l’a fermée hier : cela est triste.

328. (1888) La vie littéraire. Première série pp. 1-363

Est-il triste ? […] On le dit triste, et je l’en félicite. […] Elle est « douce, triste et jolie ». […] Le pauvre homme était triste, silencieux, taciturne. […] Je peins un paysage bien triste qui me plaît pour cette raison.

329. (1826) Mélanges littéraires pp. 1-457

Les derniers devoirs qu’on rend aux hommes seraient bien tristes, s’ils étaient dépouillés des signes de la religion. […] Le son de ses cordes est triste. […] Mais pourquoi une triste prévoyance alarmerait-elle ton cœur ? […] Mais (triste enchaînement des erreurs humaines !) […] En vain, dans le Péloponèse, on veut se livrer aux illusions des muses : la triste vérité vous poursuit.

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