VII C’est là, il faut en convenir, une triste exécution de soi-même. […] XI11 Les chacals de la littérature posthume continuent leur triste besogne, qui est de ramasser les restes des lions morts, pour en vivre.
Pour moi, je l’ai tout d’abord comparé dans sa recherche de la démocratie future vers laquelle il tend et s’achemine, mais d’un visage si pensif qu’il en est triste, au pieux Énée qui allait fonder Rome tout en pleurant Didon : Mens immota manet, lacrymae volvuntur inanes.
Le peuple n’était ni joyeux ni triste.