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1335. (1905) Les ennemis de l’art d’écrire. Réponse aux objections de MM. F. Brunetière, Emile Faguet, Adolphe Brisson, Rémy de Gourmont, Ernest Charles, G. Lanson, G. Pélissier, Octave Uzanne, Léon Blum, A. Mazel, C. Vergniol, etc… « XVII »

Je ne sais où mènerait un travail minutieux sur cette partie de la langue dont la fermentation est inachevée ; sans doute finirait-on par démontrer assez facilement que, dans la vraie notion du cliché, l’incohérence a sa place à côté de la banalité.

1336. (1908) Après le naturalisme

Pourtant, celle-ci n’en dépend que pour la résolution et le travail. […] Cette peine, ce travail, voilà la Littérature. […] Et si le premier se forme, se pensionne par un apprentissage technique de l’art, la seconde ne peut se développer que par le travail des vérités et du jugement. […] Quelle somme énorme de travail, se récriera-t-on ? […] On sait quel rôle odieux joue aujourd’hui dans la nation la confédération générale du travail.

1337. (1891) La vie littéraire. Troisième série pp. -396

Enfin, dans une partie plus suspecte et plus mêlée de son œuvre, le poète a trouvé de fiers accents pour célébrer les travaux des humbles existences. […] Brunetière hésite à frapper de nullité nos recherches et nos travaux, il n’osera plus en condamner la divulgation. […] Il enrôlait ainsi un nombre suffisant d’écoliers endettés, de villageois fainéants, d’artisans sans travail et de valets sans maîtres. […] Parvenu à l’âge d’homme, il manifesta sa sainteté par des travaux dignes des Macaire et des Pacôme. […] Ses travaux seront les nôtres et tout ce qui est en elle travaillera éternellement.

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