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628. (1861) Les œuvres et les hommes. Les historiens politiques et littéraires. II. « XVI. M. E. Forgues. Correspondance de Nelson, chez Charpentier » pp. 341-353

C’est la plus étonnante spontanéité qui ait jamais vécu, et voilà le trait pour qui saura le dégager, voilà le grand trait de sa physionomie !

629. (1893) Les œuvres et les hommes. Littérature épistolaire. XIII « Nelson »

C’est la plus étonnante spontanéité qui ait jamais vécu, et voilà le trait pour qui saura le dégager, voilà le grand trait de sa physionomie !

630. (1887) Les œuvres et les hommes. Les philosophes et les écrivains religieux (deuxième série). IX « Ch. de Rémusat. Abélard, drame philosophique » pp. 237-250

Il manque de plan, d’organisme, de vie, de passion de caractère, de couleur franche, de traits hardis. […] Partout, vous sentez, dans le drame que voici, le trait de Nestor, tombant affaibli aux pieds de l’Église, mais dirigé contre sa poitrine.

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