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2460. (1856) Leçons de physiologie expérimentale appliquée à la médecine. Tome II

Le cheval paraissant avoir soif, on lui offrit de l’eau ; il but à longs traits, et les gorgées de liquide qui se succédaient environ de seconde en seconde étaient lancées au dehors avec force par la plaie de l’œsophage ; mais, chose remarquable, pendant tout le temps que dura la déglutition de l’eau, il ne s’écoula pas une seule goutte de salive par les conduits parotidiens. […] Les symptômes observés chez les chiens dans les circonstances où le pancréas a été détruit offrent les traits de ressemblance les plus frappants avec les symptômes qui surviennent chez l’homme à la suite des affections du pancréas, ainsi qu’on le verra dans ce qui va suivre. […] Nous allons, parmi un grand nombre d’observations que nous pourrions citer, vous en signaler une ou deux, afin que vous puissiez comparer les symptômes observés chez l’homme à ceux que nous avons produits chez le chien par la destruction du pancréas, et saisir mieux les traits frappants de ressemblance qu’ils présentent.

2461. (1898) XIII Idylles diaboliques pp. 1-243

Où sont ses traits, sa taille, ses yeux acérés ?

2462. (1890) Journal des Goncourt. Tome IV (1870-1871) « Année 1870 » pp. 3-176

Il y a deux femmes en noir, au coin de la cheminée, dont on voit vaguement les traits à contre-jour.

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