Pierre Lièvre, à son tour, dans deux articles publiés par le Divan s’est montré extrêmement sévère pour l’œuvre de Jean Moréas9. […] Va-t-on à son tour le traiter de cuistre, d’âne, d’imbécile ? […] Je crois que l’on continuera longtemps encore à faire le tour de la Grèce, sans trop savoir au juste ce qu’elle a été. […] … » Faire ainsi le tour de la littérature, c’était s’exposer à rencontrer tôt ou tard Racine et Lamartine, et c’est ce qui arriva. […] Tachons donc à notre tour de le bien comprendre, et sachons l’admirer en oubliant ses défauts, qui furent peu de chose, au prix de ses qualités.
On n’est pas immortel pour rien, et, le jour de l’apothéose académique, chacun à son tour a chance d’être élevé au rang des demi-dieux.
Il suivit à son tour le convoi de ces veillards, et mourut, pour ainsi dire, le dernier, en mai 1831.