N’importe d’où qu’il vienne, ou de Chine on de France, ceci est assuré que le conte est délicieux et touche au chef-d’œuvre.
C’est fête au village, une fête méridionale, qui a pour orchestre le tambourin, et pour lustre le soleil… La Part dau bon Diéu touche de plus près encore à cette morale domestique et familière où excelle Roumanille, et qui donne à l’ensemble de ses ouvrages le caractère d’un enseignement populaire… Plusieurs de nos illustres, édités à son de trompe par nos plus bruyants journaux, auraient à profiter de son exemple.
Je serai touché du souvenir.