Villedeuil est obligé de vendre une collection des Ordonnances des rois de France pour lui allonger l’existence, puis il découvre un usurier dont il tire cinq à six mille francs. […] » Le meilleur des hommes et le marchand le plus paresseux, le plus flâneur, le plus boubouilleur, le plus incapable de tirer un gain d’une chose qu’il vend, — et qui, 365 fois par an, a besoin de voir, autour de son dîner, cinq ou six figures, si ce n’est au moins autour de la table, où, du matin au soir, se vident les canettes.
Avec un p’tit fusil d’argent Tira sur celui de devant. Tira sur celui de devant.
Corneille, tout législateur qu’il étoit de la scène Françoise, tira de ces conférences des lumières qu’il mit à profit pour donner à ses pièces un dégré de perfection qui manquoit aux premières ; & l’autre remporta de ces entretiens l’avantage de pouvoir raisonner, dans sa Pratique du théâtre, avec encore plus de connoissance de cause. […] Corneille tira de cette infamie une vengeance, & la vengeance la plus douce pour un auteur, celle de voir les ouvrages de son ennemi sifflés par le public.