On peut supposer cependant que les principes de Hillel ne lui furent pas inconnus.
On supposait qu’il y avait des procédés plus ou moins efficaces pour chasser les démons ; l’état d’exorciste était une profession régulière comme celle de médecin 752.
Je crois cet éloge bien mérité : et il est difficile de le croire une plate louange, quand on considère l’homme qui la donne, le fonds de l’ouvrage où il l’a placé, le sentiment qui l’anime en l’écrivant, celui qu’il suppose à la personne pour qui il l’écrit ; et enfin cet éloge vient si naturellement à la place où il se trouve, qu’on ne peut y méconnaître une sorte d’à-propos qui ne serait pas venu à l’auteur pour une femme vulgaire.