Un problème historique à résoudre au sujet du roman. […] Mais l’art est par essence éclectique ; il n’accepte pas les yeux fermés les sujets, il les choisit. […] Il leur semble que, s’ils s’en étaient mêlés, ils eussent été d’effroyables mauvais sujets. […] Il leur semble que, s’ils s’en étaient mêlés, ils eussent été d’effroyables mauvais sujets. […] dit-il à ce sujet.
Tout d’abord, il raconte les Sujets, qui sont les danses élémentaires, polka, valse, gavotte, menuet et pavane ; puis les Coryphées, où il démontre ses théories et en indique toutes les applications possibles ; enfin, dans les Variations et les Ballets, il développe magnifiquement ses primordiales données et fait mouvoir magiquement la vie, toute la vie.
Louis Denise Léon Riotor publie sous ce titre : Le Pêcheur d’anguilles, une fort belle légende hollandaise, qu’il a traitée en une suite de tableaux parfaitement adaptés à l’agencement du sujet primitif, En dehors du récit et seulement par l’allure générale de l’œuvre, cela fait penser à L’Albertus, de Théophile Gautier.