Sans doute personne ne peut répondre de l’avenir : il pourrait se faire que la crise protestante à laquelle nous assistons ne soit qu’un des symptômes de la dissolution des croyances, un acheminement au scepticisme, au positivisme, à l’athéisme ; mais il me semble que cela ne peut être solidement soutenu que par ceux qui nient la vérité intrinsèque de toute religion.
C’est tout ce que nous soutenons, et ce n’était pas la peine de tant nous contredire.
H. n’est pas du reste, et cela seulement m’importe à dire, effectivement liée à la doctrine qui la soutenait dans son esprit.