Ses changements d’opinions sont tout à fait légitimes : il eut le tort de vouloir les dissimuler, et de recourir à toute sorte de falsifications de ses propres écrits pour mettre après coup l’unité dans sa vie et dans ses convictions.
Quelle cuistrerie insupportable de vouloir que l’art et la littérature continuent à relever d’une sorte de tribunal revêtu d’un caractère officiel !
Ils vont encore, ces dédains olympiens, à toutes sortes de gens qui, la plupart, méritent le mépris de plusieurs façons.