Il y retrouve comme garde de marais, un garçon qui a été élevé avec lui, un garçon resté simple paysan, et marié à une femme de sa condition, mais d’une nature délicate, distinguée.
Rodenbach croit plus tard, à un grand mouvement lyrique sur l’industrie, et il parle éloquemment des attitudes recueillies, de l’aspect presque religieux des occupations mécaniques, enfin d’une synthèse poétique du travail ouvrier, d’une étude au-delà de la simple photographie littéraire.
Dans le premier cas, il y a société ; dans l’autre, une simple agglomération d’hommes, et une crise de douleur semblable à ces crises de notre corps où les principes de deux âges différents luttent confusément dans tout l’organisme et mettent l’existence en danger.