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853. (1889) Histoire de la littérature française. Tome III (16e éd.) « Chapitre huitième »

Les ouvrages où la raison et l’imagination se montrent seules ne touchent pas. […] Mais que dis-je, nous seuls ? […] Au génie seul se révèlent ces nuances, qui sont autant de découvertes faites dans le cœur humain. […] Ce ne sont pas les seules différences entre ces trois victimes de l’amour sensuel. […] Le seul confident, dans la pièce, c’est Nabal ; mais Nabal n’est pas inutile, il a sa physionomie.

854. (1889) L’art au point de vue sociologique « Chapitre dixième. Le style, comme moyen d’expression et instrument de sympathie. »

Spencer va jusqu’à dire que « le grand secret, sinon le seul, de l’art de composer, c’est de réduire les frottements du véhicule au minimum possible ». […] Le style est poétique quand il est évocateur d’idées et de sentiments ; la poésie est une magie qui, en un instant, et derrière un seul mot, peut faire apparaître un monde. […] Moi seul. […] Que chacun d’eux découvre à son tour son cœur au pied de ton trône avec la même sincérité ; Et puis qu’un seul te dise, s’il l’ose : je fus meilleur que cet homme-là. […] Ici, la seule règle pour maintenir l’harmonie que nul arrangement n’assure à l’avance, c’est précisément cet accord parfait de l’idée et du mot : celui-ci doit la rendre avec une telle exactitude que, l’exprimant, il semble s’effacer et qu’elle seule apparaisse.

855. (1949) La vie littéraire. Cinquième série

C’est pour eux seuls que M.  […] Un seul lit était vacant, un lit d’ailleurs fameux. […] Seules importent la foi et l’action. […] On est seul, et l’on refait à son gré l’univers. […] Que de longues journées j’ai passées seul avec mon chat.

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