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800. (1814) Cours de littérature dramatique. Tome III

Il répète encore la même question : Vivrons-nous sans servir Alzire et la patrie. […] Qu’importent au genre humain les passions et les malheurs des héros de l’antiquité, s’ils ne servent pas à nous instruire ? […] On s’était servi autrefois avec succès de cette sultane pour opposer Crébillon à Voltaire. […] Ce bras qui vous servit m’ouvre au trône une voie. […] La fable qui sert de cadre à ce trait sublime est un véritable roman ; mais ce roman fait pleurer, c’est son excuse.

801. (1896) Les contemporains. Études et portraits littéraires. Sixième série « Lamartine »

Je me couchai sous leur ombre fraîche et épaisse ; j’ôtai mon épée et mes bottes : l’une me servit de pupitre et l’autre d’oreiller. […]     Ces rapprochements ne servent à rien ; et de tous les vers cités par M.  […] La vieille distinction, artificielle, mais commode, de la forme et du fond m’y servira. […] Oui, il y a, chez Lamartine, quelque chose d’assez analogue à ces vers « faits d’avance » qui reviennent de temps en temps chez Homère ou chez les poètes des Chansons de gestes, chez ceux qui se servaient peu de la plume et de l’encrier, ou qui même ne s’en servaient pas du tout, et pour cause. […] Ils ne feraient servir toute leur science qu’à la sensation égoïste.

802. (1782) Essai sur les règnes de Claude et de Néron et sur la vie et les écrits de Sénèque pour servir d’introduction à la lecture de ce philosophe (1778-1782) « Essai, sur les règnes, de Claude et de Néron. Livre second » pp. 200-409

Des deux vêtements que j’ai, l’un me sert de drap, l’autre de couverture. […] Le peuple se sert mieux de ses yeux que de son entendement. […] A quoi donc sert la philosophie, si elle se tait ? […] et s’il faut que je serve, qu’importe sous quel maître ? […] Le sort a voulu que l’un vous servît d’appui, l’autre de consolateur.

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