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1453. (1896) La vie et les livres. Troisième série pp. 1-336

Il se sentit moins seul. […] Nous sentons trop qu’il nous échappe. […] Ils sentent bon. […] Tous ces hommes, qui alors étaient également illustres, se sentaient vaincus d’avance. […] Il sentait son cœur battre dans sa poitrine, et des moiteurs glacées lui baignaient les tempes.

1454. (1864) Portraits littéraires. Tome III (nouv. éd.) « Études sur Blaise Pascal par M. A. Vinet. »

On se sent en présence d’un individu extraordinaire. […] Vinet disait cela de Bourdaloue par manière de conjecture, on peut le lui appliquer plus sûrement à lui-même : il était de ceux qui vivent d’une vie complète au dedans, et qui, sans rien laisser éclater, arrivent à savoir par expérience tout ce qu’il a été donné à l’homme de sentir.

1455. (1874) Premiers lundis. Tome II « La Revue encyclopédique. Publiée par MM. H. Carnot et P. Leroux »

Elle attend ; elle se sent mal et accepterait avec reconnaissance tout soulagement positif qu’on lui voudrait apporter. […] Mais on sent combien il est profitable pour l’accélération des esprits que de telles questions de philosophie politique se traitent dans un recueil accrédité, avec développement, avec science, amour du bien, et un talent d’expression qui y répand lumière et chaleur.

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