Est-ce que dernièrement encore l’immense caricature n’a pas tourné au tragique, et avions-nous besoin de cela pour savoir ce qu’ils ont dans le ventre, ces poussahs au cerveau figé et à la poitrine vide de tout sentiment d’humanité et d’honneur ? […] En vain a-t-elle rappelé la femme au sentiment tout-puissant de sa faiblesse et a-t-elle dit avec, un grand bon sens chinois étonnant et qui étonnerait même en Europe, qu’il n’y avait pour la femme que la modestie qui rougit et l’ombre du mystère qui voile cette rougeur charmante, M.
Francis Lacombe, en nous prouvant que la fraternité chrétienne est un sentiment du Moyen Âge, nous a mis pour ainsi dire dans la main le lien qui nous attache invinciblement à cette époque, le lien que des sophistes disaient brisé, mais qui ne l’est pas. […] Il résulterait de cet exposé rapide et plein, qu’Étienne Boileau et ses successeurs auraient appliqué ce principe éternel et sauveur de l’association sur la plus vaste échelle, et que les résultats qu’ils avaient obtenus étonneraient et raviraient notre sentiment démocratique d’aujourd’hui.
Il a eu pour Mahomet les sentiments qu’auraient eu ces imbéciles Porteurs de Croix dont il s’est si spirituellement moqué. […] Mais il est un autre point qui n’est pas seulement faible, mais qui est faux et que je demanderai à Barthélemy Saint-Hilaire la permission de signaler, non au sentiment de l’historien et du philosophe, mais à la conscience du chrétien, puisque, grâce à Dieu, Barthélemy Saint-Hilaire est maintenant chrétien.