Qu’on lise le Vœu suprême dans lequel le poëte désire entrer en son éternité, fut-ce par le fer, par la sensation aiguë du glaive, mais surtout cette Apostrophe aux Morts, à la paix desquels il aspire.
Je ne fus pas moins émerveillé, lorsqu’un jour j’entendis mes vers dans une langue étrangère. » La traduction de Gérard ne dut pourtant lui donner cette agréable sensation qu’à demi, car elle était en grande partie en prose.
Quant à Salammbô, à laquelle le lecteur à bout de sensations et d’abominations a moins que jamais le cœur de s’intéresser, dès longtemps fiancée à Narr’Havas, elle meurt en revoyant de ses yeux dans cet état horrible ce Mâtho, ce beau drôle de Lybien pour qui elle s’est sentie allumée dès le premier soir, et à qui elle s’est, de gaieté de cœur, abandonnée.