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965. (1865) Les œuvres et les hommes. Les romanciers. IV « G.-A. Lawrence » pp. 353-366

Le latin, le grec, les comparaisons classiques et toutes ces choses bonnes, quand elles font chair et sang avec notre pensée, ne disparaissent pas dans M. 

966. (1773) Essai sur les éloges « Chapitre XIX. Panégyriques ou éloges composés par l’empereur Julien. »

Dans les combats, il veut la plus grande part aux périls et aux travaux ; après le succès, il partage entre tous le fruit de ses périls et de son sang.

967. (1890) Le réalisme et le naturalisme dans la littérature et dans l’art pp. -399

Les pieds et les têtes de bœuf s’entassent dans les corbeilles en un coin, avec des peaux fraîches et souillées de sang ; Argos, le vieux chien, gît sur le fumier, tout rongé par la vermine. […] Le sang se voit mieux encore dans les bas-reliefs : il jaillit en ruisseaux des veines jugulaires. […] Macbeth et sa femme n’ont pas de remords ; ils sont plutôt pris de terreurs et de dégoûts ; le regret du crime affecte moins leur cœur que l’odeur du sang, cette odeur caractéristique subtilement analysée par Shakspeare, n’affecte leurs sens. […] Si Falconet lut cette satire, il dut y applaudir, lui qui estimait si fort chez Puget le sentiment des plis de la peau, et la fluidité du sang. […] Nous reprochera-t-on nos charniers horribles, le sang que nous faisons couler, les sanglots que nous n’épargnons pas aux lecteurs ? 

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