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896. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — S. — article » pp. 260-261

Ce Roman, écrit dans le style & selon les mœurs des Siecles de franchise & de naïveté, est un chef-d'œuvre dans son genre.

897. (1864) Portraits littéraires. Tome III (nouv. éd.) « Benjamin Constant et madame de Charrière »

« J’ai quitté l’idée d’un roman en forme. […] J’ai substitué à ce roman des lettres intitulées Lettres écrites de Patterdale à Paris dans l’été de 1787, adressées à madame de C. de Z. […] Nous autres Lausannais qui jouons la comédie, nous sommes du pays roman et point Suisses. […] C’est un roman dans la forme épistolaire. […] Il s’agit sans doute du roman de Herman und Ulrica.

898. (1903) La vie et les livres. Sixième série pp. 1-297

Ainsi comprise, l’histoire devient un roman réel. […] On y rencontre plus de substance morale que dans tel ou tel roman psychologique et ennuyeux. […] » Je crois bien que ce n’est pas un roman ! […] Ce n’est pas un roman, si le roman est condamné à la perpétuelle description des ignominies où le naturalisme s’est enlisé. […] Ce n’est pas un roman, si le roman doit se traîner et croupir dans les endroits secrets qui ont fait gagner tant d’argent aux pornographes.

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