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887. (1871) Portraits contemporains. Tome V (4e éd.) « FLÉCHIER (Mémoires sur les Grands-Jours tenus à Clermont en 1665-1666, publiés par M. Gonod, bibliothécaire de la ville de Clermont.) » pp. 104-118

C’est un personnage de Molière que cette recommandable matrone, mère du Caton des Grands-Jours ; et Fléchier, par une si agréable entente des travers et des ridicules, retrouve ici son vrai rang comme précurseur de La Bruyère.

888. (1862) Portraits littéraires. Tome I (nouv. éd.) « Des soirées littéraires ou les poètes entre eux »

En fait de ridicule, le pendant de l’hôtel de Rambouillet ou des poëtes à la suite de la Pléiade, ce serait au xviiie  siècle La Mettrie, d’Argens et Naigeon, le petit ouragan Naigeon, comme Diderot l’appelle, dans une débauche d’athéisme entre eux.

889. (1874) Premiers lundis. Tome I « Alexandre Duval de l’Académie Française : Charles II, ou le Labyrinthe de Woodstock »

Duval est défendue avec une aigreur ridicule.

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