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884. (1902) Les œuvres et les hommes. Le roman contemporain. XVIII « Émile Zola »

La Faute de l’abbé Mouret n’est plus une farce nauséabonde comme Le Ventre de Paris, avec sa fameuse description de fromages dont on ne se souvient qu’en se bouchant le nez, et qui n’avait, au bout du compte, que l’inconvénient de l’infection pour nous et d’un ridicule incommensurable pour l’auteur. […] Zola croit peut-être ne l’avoir gardée que pour sa bucolique, — à la Daphnis et Chloé, — mais dont le Daphnis est un curé, ô ridicule immense !

885. (1870) Causeries du lundi. Tome XV (3e éd.) « Correspondance de Voltaire avec la duchesse de Saxe-Golha et autres lettres de lui inédites, publiées par MM. Évariste, Bavoux et Alphonse François. Œuvres et correspondance inédites de J-J. Rousseau, publiées par M. G. Streckeisen-Moultou. — I » pp. 219-230

J’ai fait ce que j’ai pu pour les rendre aussi ridicules qu’ils le sont… » Il n’y a pas réussi cette fois à son ordinaire.

886. (1869) Portraits contemporains. Tome I (4e éd.) « Victor Hugo — Victor Hugo, Les Feuilles d'automne, (1831) »

Après cela, il y aurait du ridicule à cette bonne critique de se trop exagérer sa part dans le triomphe de ses plus chers poëtes ; elle doit se bien garder de prendre les airs de la nourrice des anciennes tragédies.

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