On sait d’ailleurs, que M. de Pourceaugnac, la comtesse d’Escarbagnas, native d’Angoulême, George Dandin, signalé comme un « riche paysan, mari d’Angélique », et d’autres personnages de Molière, montrent bien quelle était l’opinion du comédien et mieux encore celle de son temps sur les provinciaux. […] Il était autrefois aussi blanc que du pain de riche, et son toit bleu ou rouge ne portait pas de joubarbe. […] Cet aïeul du réalisme étudiait donc la province principalement dans sa très riche imagination et dans les histoires qu’on lui racontait.
Le poëte invoque ce dieu de l’hymen dont le culte et les symboles, conservés jusque dans la ruine du paganisme, devaient effrayer bientôt les mœurs chrétiennes, ou parfois même les altérer de son hardi mélange dans les pompes nuptiales de quelques riches néophytes : tant une licence consacrée d’âge en âge conservait d’empire ! […] Rappelez-vous ce que Pindare aimait quelquefois à dessiner dans ses vers, la demeure splendide d’un riche citoyen, les élégants portiques, l’appareil de la fête, la joie des amis et l’empressement de la foule. […] Il est temps de vous lever et de quitter ce riche banquet.
En attendant, riches et pauvres auront eu ce qu’ils demandaient. […] La première est riche en graves enseignements ; les enseignements usuels sont dans l’autre. […] Nous sommes bien riches encore et notre liste est loin d’être épuisée. […] Marseille est la patrie de la rime riche, des épithètes sonores, de l’alexandrin musical. […] Il est riche : il n’a qu’à devenir acquéreur d’un journal.