La langue de Pascal et de Bossuet, aussi riche et aussi souple, n’est-elle pas plus claire, moins gauloise, mais plus universelle que celle de Montaigne et de Rabelais ? […] Il nous en reste heureusement assez d’autres ; et, sans sortir de l’âge classique, depuis Ronsard jusqu’à Rousseau, nous sommes assez riches de textes qui peuvent dans une certaine mesure suppléer les latins.
Ainsi il n’est pauvre que de ce qu’il a rejetté ; mais ceux qui sentent le mérite du choix, ne l’en trouvent que plus riche.
Ces religieuses avoient pour principes, que ce n’étoit pas être pauvre, & accomplir le vœu de pauvreté, que d’être riche en commun.