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1674. (1864) Portraits littéraires. Tome III (nouv. éd.) « Mademoiselle Aïssé »

Cette décadence de Louis XIV, où la corruption pour éclater n’attendait que l’heure, faisait encore une société bien spirituelle, bien riche d’agréments ; cela était surtout vrai des femmes et du ton ; le goût valait mieux que les mœurs ; on sortait de Saint-Cyr, après tout, on venait de lire La Bruyère.

1675. (1864) Portraits littéraires. Tome III (nouv. éd.) « M. de Rémusat (passé et présent, mélanges) »

Nous ne prétendons pas compter dans cette riche et fine organisation toutes les impressions et les influences ; mais nous tenons évidemment les principales, celles qui, en se croisant, ont formé la trame subtile, très imbris torti radios… Toutes les idées et les vues que lui suggéra la lecture du livre de Mme de Staël, il les écrivit pour lui seul d’abord ; mais, un jour, dans l’été de 1818, se trouvant à la campagne206, il remit le morceau à M. de Barante, qui le questionnait sur ses études.

1676. (1859) Cours familier de littérature. VIII « XLIVe entretien. Examen critique de l’Histoire de l’Empire, par M. Thiers » pp. 81-176

Ajoutons, aux motifs de cet attrait involontaire en nous, deux qualités également distinctives de cette riche nature, qualités par lesquelles M. 

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