On nous les représentait comme deux boxeuses, à la vérité la poésie toujours à terre, knock-out. mes correspondants me démontrent qu’il n’en est plus rien aujourd’hui.
Il est vrai que le gouvernement était représenté par ce que l’on appelait alors un fin lettré, Louis XVIII, et après lui par Charles X, ce gentilhomme de toute bonne volonté pour les artistes.
En tout cas, il ne nous touchera que dans la mesure où il nous aidera à nous représenter ces choses, et pourvu que nous y croyions avec intensité. […] L’imagination mise en branle par ce merveilleux, il se représente le vieux roi podagre attendant au milieu de sa capitale l’usurpateur reparu.