Les grandes agglomérations d’hommes à la façon de la Chine, de l’Égypte, de la plus ancienne Babylonie ; — la tribu à la façon des Hébreux, des Arabes ; — la cité à la façon d’Athènes et de Sparte ; — les réunions de pays divers à la manière de l’Empire carlovingien ; — les communautés sans patrie, maintenues par le lien religieux, comme sont celles des israélites, des parsis ; — les nations comme la France, l’Angleterre et la plupart des modernes autonomies européennes ; — les confédérations à la façon de la Suisse, de l’Amérique ; — des parentés comme celles que la race, ou plutôt la langue, établit entre les différentes branches de Germains, les différentes branches de Slaves ; — voilà des modes de groupements qui tous existent, ou bien ont existé, et qu’on ne saurait confondre les uns avec les autres sans les plus sérieux inconvénients.
C’est dans Versailles que les pompes de l’âge religieux de la France s’étaient réunies.
Bloy n’est ni religieux, ni philosophique, ni humain, ni mystique ; le génie de M. […] Il a constaté que ce n’est plus que par exception que le mysticisme est réellement religieux, quoiqu’il adopte, presque toujours, des allures religieuses. […] L’homme le plus hautement religieux de notre temps, Tolstoï, est hérétique à toutes les confessions. […] Sabatier créa le nouveau symbolisme religieux dont la science de M. l’abbé Duchesne avait posé les premiers principes. […] Ensuite pour protéger sous un même toit les deux sœurs, il édifiera un temple vaste, religieux et solennel.