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615. (1894) La bataille littéraire. Sixième série (1891-1892) pp. 1-368

Le costumier dit : « Pas d’argent, pas de costumes », mais, le soir, bien qu’il n’ait pas reçu un sou, tout le monde est habillé ; pourquoi ? […] Du même coup, je recevais donc un livre et une menace, celle de n’être plus dans le train. […] Il était charmant, vous le savez, et recevait des déclarations de tous côtés. […] Il y rencontre Washington, il fait un peu de tout, saigne au besoin un malade et tire parti de l’instruction pratique qu’il a reçue. […] Son état de vague amour recevait des longues psalmodies du couvent une sorte d’excitation puissante et de renouvellement.

616. (1949) La vie littéraire. Cinquième série

C’est la cinquantième de la journée. » Pourtant La Taverne fut lue et reçue. […] Candide, reçu par Déjazet, fut interdit par la censure. […] C’est sur son lit que madame de Maintenon recevait la cour. […] Dans ce même hôpital la salle où fut reçu le poète porte le nom de salle des Décadents. […] Notre esprit est comme les miroirs : il ne peut recevoir que des reflets.

617. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — G — article »

GOMBAUD, [Jean Ogier de] né à Saint Just de Lussac en Saintonge, mort à Paris en 1666, âgé de près de cent ans, Membre très-oublié de l’Académie Françoise, moins parce qu’il fut un des premiers reçus dans cette Compagnie, que parce qu’il étoit peu fait pour conserver la moindre réputation.

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