Les sociétés humaines se régénèrent et renaissent pour commencer une nouvelle vie, après avoir passé par des périodes assez peu en rapport avec celles qui amènent la mort de l’homme, et surtout sa renaissance ; car ici finit toute espèce d’analogie : la perpétuité des sociétés humaines et l’immortalité de l’être spirituel n’ont aucune ressemblance, l’une étant placée dans le temps et dans la sphère du monde sensible, l’autre s’élançant hors des limites du temps et dans la sphère infinie d’un monde où ne règnent que les lois de l’intelligence. […] Le platonisme fut, sous quelques rapports, une heureuse préparation à la religion de Jésus-Christ. […] Lorsque l’on trouve pour la première fois cette expression, elle est déjà consacrée par la tradition ; et l’on sait que nos rois n’ont jamais été moins jaloux que les autres de leur indépendance dans leurs rapports avec la cour de Rome.
Comme universitaire, il est l’auteur d’un rapport, écrit avec René de Marans, dont le titre parle de lui-même : La Doctrine officielle de l’Université. […] Dans ces rapports, la roideur, non moins que l’abaissement, prouve qu’on n’est pas sûr de ne devoir point se mépriser soi-même. […] Leur rapport est zéro. […] Le bonheur, idée d’un certain rapport permanent entre ces deux facteurs essentiellement mobiles : la sensibilité et les circonstances, est la plus inconsistante des abstractions. […] On aperçoit comment le second nous mettra en présence des rapports directs du romantisme avec la Révolution.
Pour mieux fixer cette première altération dans nos rapports, je ne crois pouvoir rien faire de mieux que de mettre ici deux de mes lettres adressées à Béranger en 1834 et 1835, et qui m’ont été rendues par MM. […] « Ce 7 décembre 1834. » Les explications données par Béranger réparèrent un peu les effets de la médisance et maintinrent de bons rapports entre nous, comme le prouve la lettre suivante, postérieure de quelques mois ; il y est question de bien des choses qui ne sont pas hors de propos dans ces volumes de contemporains : « Mon cher Béranger, « Une petite circonstance que je vous dirai (à la fin de ma lettre) me fournissant le prétexte de vous écrire, je le saisis avec une sorte d’empressement, bien justifié par le regret de ne vous avoir pas dit adieu et par l’incertitude où je suis du temps où je vous reverrai.