Il voudrait qu’on déterminât d’abord les émotions les plus générales, celles qui sont communes à tous les animaux ; puis celles qui nous sont communes avec les races inférieures ; puis celles qui nous sont propres ; puis l’ordre d’évolution de celles qui nous sont propres.
Ces règles sont-elles liées aux lois physiologiques de l’ouïe, de l’instinct et aussi de notre race ?
III), et que je transcris comme expression d’une doctrine non contestée alors : « Selon les règles qui nous sont prescrites par les lois qui sont descendues du ciel, et dont l’Olympe est le père ; car ce n’est pas la race mortelle qui les a engendrées : aussi n’est-il pas en son pouvoir de les ensevelir dans l’oubli.