Son élégance était de race. […] Dans un de ses plus aimables recueils, intitulé le Harem, Ernest d’Hervilly évoque les belles femmes de tous les pays, et chacune nous apparaît, bizarrement exotique, avec ses attributs de race et de climat, dans le milieu qui lui est particulier.
Des courtisans perfides, des adulateurs par état, la race la plus abjecte ; des Tibère, des Caligula, les oppresseurs des hommes dont ils devaient être les pères, avec le nombreux cortége des menteurs subalternes qui servent leurs haines, et qui encensent leurs folies214. […] Je m’occupe de nos neveux ; je médite quelque chose qui me survive, et qui leur soit salutaire : ce sont des espèces de recettes contre leurs infirmités (Lettre xviii). » C’est ainsi qu’on se fait un nom parmi ses contemporains et chez les races futures. […] Quatre mille hommes de races affranchies, infectés de cette superstition, furent envoyés en Sardaigne, pour y servir à réprimer les brigandages.
Je vais étudier une des maladies de la race française, la plus répandue et l’une des plus profondes à la fois et des plus aiguës. […] La race française, étant ardente, devait produire quelques foyers d’ardent sentiment religieux, çà et là, sous l’influence d’un esprit dominateur ou d’une âme apostolique ; sous l’influence, aussi, des entours mêmes, poussant et provoquant au sentiment religieux les âmes douées de l’esprit de contradiction. Mais le fond de la race française, la généralité des Français me semble toujours avoir été peu capable d’embrasser et d’entretenir l’esprit religieux et le sentiment religieux.