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428. (1893) Impressions de théâtre. Septième série

Je me vois arrivé à l’état d’ancien beau, et, s’il y a un rôle bête à jouer dans le monde, c’est celui-là… » Ne sentez-vous pas une contradiction secrète entre le rôle qu’il joue et les propos qu’il tient ? […] Alors, Charles a donné le rôle à Ninette, une petite comédienne sans importance. […] Une comédienne qui rend un premier rôle, un rôle d’un grand nombre de lignes, et un rôle « sympathique », soit parce qu’on lui a dit que « ce n’était pas du théâtre », soit parce que la pièce est de son mari, cela ne se peut vraiment concevoir qu’avec une grande difficulté. […] Quant à Mme de Grécourt, elle soutient fort bien son rôle de curieuse, émue à peine. […] Il est clair qu’elle se délecte dans ce rôle et qu’elle se juge extrêmement émouvante.

429. (1876) Chroniques parisiennes (1843-1845) « V » pp. 19-21

Le rôle de Brutus très-grand (tellement, que c’est Brutus autant que Lucrèce qu’il faudrait intituler la pièce), conçu un peu en comique et même en bouffon, comme on se figure que l’aurait pris Shakspeare : d’ailleurs l’ensemble assez classique.

430. (1870) Portraits contemporains. Tome II (4e éd.) « a propos de casanova de seingalt  » pp. 510-511

dans la réalité pratique de la vie, ce rôle est en grande partie dévolu à l’homme de bien.

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