Le bien, pour être autre chose qu’un rêve, a besoin d’être organisé, et cette organisation réclame aussitôt une tête, ministre ou souverain, un grand personnage social. […] On ne refait point l’histoire, mais en la lisant chez des narrateurs judicieux et fidèles, on réfléchit, on rêve, on compare, et c’est à quoi j’ai été conduit par le Louis XVI de M.
« Il fut hanté de rêves bizarres, assailli de désirs étranges. […] Parfois, au soir, il rêvait de se promener dans le Luxembourg, grilles fermées ; de marcher dans les allées noires en songeant à des choses très lointaines ; ses yeux se fermaient sur le monde visible et s’ouvraient sur le rêve que déployaient devant lui la réalité de ses hallucinations et ses enfilades de perspectives infinies.
Laurent Tailhade : Le Jardin des Rêves. […] Mockel : L’Essor du rêve.