Mais, lui ayant demandé s’il avait la résolution de remettre au peuple toscan la liberté anarchique dont il jouissait avant lui, Laurent ne daigna pas répondre. […] Je lui répondis qu’il préparait un cataplasme pour lui réchauffer les entrailles. […] « Il est en ville, répondis-je, parce qu’il a craint d’être fâcheux en venant ici […] Ainsi, à qui lui avait offert un peu de nourriture et qui lui demandait comment il se trouvait : « Comme un mourant », répondit-il. […] Dans des affaires si ardues, il se montre tellement habile, qu’il fait naître d’incroyables espérances auxquelles il répondra pleinement.
Que Bernis eût réellement cette tranquillité et ce contentement dont il parle, et que ce soit chez lui l’état fondamental en ces années d’inaction et d’exil, je n’oserais en répondre : il suffit qu’il y tende, qu’il y revienne le plus possible par la réflexion, et que son humeur ne jure pas avec son désir. […] J’ai peut-être dans le fond de mon cœur l’insolence de… ; mais je n’ose pas… » Bernis ne répond jamais sur ces insinuations et fait la sourde oreille à ces louanges outrées, et en effet insolentes, du malin. Quand il est touché pourtant d’une manière plus juste, il répond et le fait à ravir. […] Bernis répond avec une pensée et, pour ainsi dire, avec une voix d’une douceur enchanteresse : Vous êtes en peine de mon âme, dans le vide de l’oisiveté à laquelle je suis condamné à l’avenir. […] Bernis lui répond, et cette réponse, bien comprise, est d’un bout à l’autre une noble et sage leçon.
. — Aux cannes de sucre, répondait Virginie. — Votre visite nous sera encore plus douce et plus agréable », reprenaient ces jeunes filles. […] Mange ce rayon de miel, je l’ai pris pour toi au haut d’un rocher ; mais auparavant repose-toi sur mon sein, et je serai délassé. » Virginie lui répondait : « Ô mon frère ! […] Écoute comme ils s’appellent et se répondent d’un arbre à un autre. […] nous répondrons qu’il doit encore ce talent, ou du moins le développement de ce talent, au christianisme ; car cette religion, chassant de petites divinités des bois et des eaux, a seule rendu au poète la liberté de représenter les déserts dans leur majesté primitive.