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1413. (1873) Molière, sa vie et ses œuvres pp. 1-196

) On a reproché à Molière qu’il donnait des farces pour des comédies ; et ceux qui examinent si une pièce qui les fait rire est dans toute la rigueur des règles voudraient que tous ses ouvrages fussent aussi justes et aussi travaillés que Le Misanthrope et le Tartuffe ; mais ils ne font pas assez de réflexion sur la nécessité où était l’auteur de faire subsister une troupe fort nombreuse.

1414. (1929) Critique et conférences (Œuvres posthumes III)

Et à cette époque-ci, toute de menue psychologie après une crise d’intense physiologie, je trouve rafraîchissant s’il en fut, un recueil de vers, d’ailleurs conformes, dans leur structure, aux plus raffinées comme aux plus libres règles de la poétique moderne et actuelle, varié, pittoresque, humain, ce qui ne gâte rien et amusant (dans le sens noble du mot), ce qui sauve tout !

1415. (1910) Variations sur la vie et les livres pp. 5-314

« La Princesse de Clèves est de Mme de La Fayette, raconte Segrais ; Zaïde, qui a paru sous mon nom, est aussi d’elle : il est vrai que j’y ai eu quelque part pour la disposition du roman, où les règles de l’art sont observées avec une plus grande exactitude. » Ainsi, lorsque Segrais disait, comme on le rapporte, ma Zaïde, c’était une façon de parler.

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