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516. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — L — article » pp. 39-51

Quant à ses Eloges historiques, ils ont eu la même destinée que ses autres Ouvrages : célébrés dans le Mercure, après avoir été couronnés par l’Académie, ils ont été sifflés, avec l’Académie & le Mercure, par le Public. […] & s’il l’eût pris, le Public le lui eût-il pardonné ? […] Ce qui n’a pas peu contribué encore à indisposer le Public contre M. de la Harpe, c’est la maniere impérieuse avec laquelle il a exercé les fonctions de Journaliste, soit dans le Journal de Politique & de Littérature, mort entre ses mains, soit dans le Mercure de France, auquel il travaille aujourd’hui pour la seconde fois.

517. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — T. — article » pp. 372-383

Ses Epîtres, ses Chansons, ses Madrigaux, & ses Discours prononcés aux Séances publiques de la Société Royale de Nancy, sur-tout celui du 8 Mai 1752, prouvent qu’il réunit aux graces touchantes des Chaulieu, l’éloquence instructive des Fontenelle. […] Le hasard n’est qu’un être fantastique, Qu’un mot qui sert l’ignorance publique ; Jamais ce mot, qui d’elle est émané, N’offre à l’esprit un sens déterminé. […] C’est sur-tout dans ses Réflexions sommaires sur l’Esprit, que M. le Comte de Tressan manifeste des sentimens qui lui assurent des droits à l’estime publique.

518. (1761) Querelles littéraires, ou Mémoires pour servir à l’histoire des révolutions de la république des lettres, depuis Homère jusqu’à nos jours. Tome I « Mémoires pour servir à l’histoire des gens-de-lettres ; et principalement de leurs querelles. Querelles particulières, ou querelles d’auteur à auteur. — Montmaur, avec tout le Parnasse Latin & François. » pp. 172-183

Ménage lui-même sentit qu’il avoit été trop loin, qu’il est des égards dus au public. […] On l’exhortoit à donner au public quelqu’une de ces histoires scandaleuses qu’il sçavoit sur le chapitre de Ménage, & qu’il se bornoit à débiter dans ses sociétés particulières. […] On osa mettre en vers ces idées abominables, & les présenter au public.

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