Merrill fut d’abord le frère d’armes des premiers poètes symbolistes, et il reste l’ami de MM. de Régnier, Vielé-Griffin, Verhaeren et Retté. […] Stuart Merrill aurait pu refaire ses premiers livres.
Mais, après avoir terminé ce premier travail, je voulus franchir les limites où il m’avait contraint de me renfermer ; je m’engageai alors librement dans les curieuses perspectives que j’avais vues s’ouvrira mes yeux, et j’essayai d’y pénétrer le plus avant qu’il me fut possible. […] Je ne viens pas des premiers explorer ce curieux et pittoresque canton de la littérature et de l’art.
Un autre juif placé auprès du premier, et qu’on reconnoît être d’un temperament mélancolique à la maigreur de son corps, à son teint livide, comme à la noirceur des poils, se ramasse tout le corps en jettant sa pierre, qu’il adresse à la tête du saint. On voit bien que sa haine est encore plus forte que celle du premier, quoique son maintien et son geste ne marquent pas tant de fureur.