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562. (1869) Cours familier de littérature. XXVIII « CLXIVe entretien. Chateaubriand, (suite.) »

Quant à l’intérêt que l’auteur prétend emprunter au récit des choses de son temps, les Mémoires sont un cadre trop étroit pour un siècle ; ils ne peuvent donner que les généralités et les aperçus dont l’effet est trop fugitif et trop rapide pour le lecteur. […] LIX Les Mémoires d’outre-tombe, où M. de Chateaubriand avait prétendu enserrer toute l’histoire de son temps, et se mettre sans cesse lui-même en scène, en équilibre, en opposition avec Bonaparte, n’eurent donc pas le succès que ses amis en avaient attendu. […] LXII Je ne prétends pas soutenir, au reste, qu’à partir de cette époque de la publication du Génie du Christianisme, M. de Chateaubriand n’ait pas été un chrétien sincère dans la foi qu’il avait adoptée par cette magnifique et éclatante conversion littéraire.

563. (1889) Les contemporains. Études et portraits littéraires. Quatrième série «  M. Taine.  »

Puis, le témoignage de Mme de Rémusat n’est peut-être pas aussi suspect, aussi partial, aussi calomnieux qu’on le prétend. […] Peut-être ai-je trop querellé Faustus sur son prétendu bonheur. […] Je n’ai prétendu donner, sur l’œuvre nouvelle de M. 

564. (1904) Prostitués. Études critiques sur les gens de lettres d’aujourd’hui « Chapitre IX. Le trottoir du Boul’ Mich’ »

On trouvait ridicules son visage et son allure ; par ses continuelles distractions il devenait le jouet de ceux qui se disaient ses amis ; il était à timide ; il bégayait, et sa langue déformait les r et les c, de sorte qu’il prétendait s’appeler Latan. […] Brunetière, et le dialecte pirouette, que quelques-uns prétendent imité du Sainte-Beuve. […] Oui, vraiment, le prétendu critique ose dire que les bavardages élégants de M. 

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