C’est à une grande procession qu’Hubertine apprend, en le voyant près de l’évêque, que le prétendu artisan Félicien est son fils. […] C’est là-dedans que nous avons lu pour la première fois Musset, Mérimée, Théophile Gautier et tous ces grands écrivains à qui, malgré ses profonds dédains, l’école actuelle ne peut s’empêcher d’emprunter un peu de leur langage prétendu démodé, pour se présenter convenablement dans le monde des lecteurs.
L’anecdote, prétendait-il, lui avait été contée par Morny, qui disait la tenir de la bouche de l’Empereur.
Croiriez-vous qu’un tel écrivain fait le joli, qu’il veut nous égayer, qu’il prétend être agréable ?