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1974. (1891) La bataille littéraire. Quatrième série (1887-1888) pp. 1-398

C’est à une grande procession qu’Hubertine apprend, en le voyant près de l’évêque, que le prétendu artisan Félicien est son fils. […] C’est là-dedans que nous avons lu pour la première fois Musset, Mérimée, Théophile Gautier et tous ces grands écrivains à qui, malgré ses profonds dédains, l’école actuelle ne peut s’empêcher d’emprunter un peu de leur langage prétendu démodé, pour se présenter convenablement dans le monde des lecteurs.

1975. (1890) Journal des Goncourt. Tome IV (1870-1871) « Année 1870 » pp. 3-176

L’anecdote, prétendait-il, lui avait été contée par Morny, qui disait la tenir de la bouche de l’Empereur.

1976. (1866) Histoire de la littérature anglaise (2e éd. revue et augmentée) « Livre III. L’âge classique. — Chapitre I. La Restauration. »

Croiriez-vous qu’un tel écrivain fait le joli, qu’il veut nous égayer, qu’il prétend être agréable ?

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