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1933. (1896) Journal des Goncourt. Tome IX (1892-1895 et index général) « Année 1893 » pp. 97-181

Ainsi, il prétend que chez l’homme qui crie : Tônneaux… tônneaux. » le cri est un cri du ventre, un roulement de basse à la Lablache, qui n’amène aucune fatigue, est, au contraire, une gymnastique des muscles intérieurs, tandis que certains cris nerveux, comme ré-pa-ra-teurs de por-ce-lai-ne, des cris produits par des contractions de la gorge, doivent amener, au bout de très peu d’années, une laryngite.

1934. (1925) La fin de l’art

D’après la revue ancienne où j’ai trouvé cette histoire, on aurait prétendu qu’il n’y avait pas de place sur le bateau, et il est probable que les chefs de l’expédition ne se vantèrent pas tout d’abord de leur négligence, ou bien s’empressa-t-on, pour la couvrir, de commander, en granit du pays, l’insignifiant soubassement qui remplace le morceau original.

1935. (1889) L’art au point de vue sociologique « Chapitre dixième. Le style, comme moyen d’expression et instrument de sympathie. »

Rappelez-vous, à la scène, ces acteurs trop consciencieux qui prétendent, comme on dit, « faire un sort à chaque mot » ; au bout de cinq minutes, les mots qu’ils veulent mettre tous en lumière, étant uniformément éclairés, rentrent tous dans l’ombre.

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