Ni la peste, ni les hivers, ni les tempêtes, ni le climat d’une ville perpétuellement ravitaillée, ni des soldats cuirassés de leurs murailles de granit et qui réalisent le mot sublime de l’Empereur à Eylau : « Quand on les a tués, il faut les pousser pour qu’ils tombent », rien n’a pu nous désarmer de cette patience qui résiste et qu’il est plus difficile d’avoir, à ce qu’il paraît, quand on est Français, que le courage qui va en avant.
il est à l’extrémité de toutes ces idées qui nous poussent aux abîmes en passant par tous les chemins du ridicule et de l’absurdité.
Il n’avait pas cette fraîche haleine de créateur qui, comme celle d’un enfant, pousse une bulle de savon dans le bleu des airs et l’y fait planer immortelle !